Photos : l'usine MZ au fil des ans

De grands sauts avec des chevaux-vapeur

Les apprentis de l'usine de motocross de Zschopau, mondialement connue et berceau de machines utilitaires et sportives éprouvées, s'entraînent avec plaisir. Dans le cadre de leur formation sportive, le sport moto tout-terrain fait également partie du programme. Pendant leur formation à l'usine, les jeunes ont monté eux-mêmes leurs machines et apprennent maintenant à les maîtriser correctement, même sur des parcours difficiles. Le formateur Walter Hübler, qui est formateur GST pendant son temps libre, montre sur notre photo aux apprentis Frank Kühnert, Detlef Bochmann et Rüdiger Böttrich de grands sauts avec des "chevaux". Ces trois garçons font partie des 500 futurs serruriers, mécaniciens et outilleurs de l'usine de motos de Zschopau.

samyb a écrit:

J'ai moi-même travaillé chez Mz à partir de 1984, et c'était presque déjà après l'époque TS, mais tu peux oublier l'autre transmission primaire.

Toutes les variantes destinées à l'exportation sont basées sur les modèles normaux et n'ont été modifiées qu'avec des moyens très simples, il n'y avait pas d'argent pour une autre chaîne de montage du carter moteur et d'autres grands outils et dispositifs.
Pourquoi le moteur de l'ETZ 125/150 et celui de l'ETZ 250 ont-ils été conçus sur le même principe que le moteur TS ?
Tout simplement parce qu'il devait être fabriqué sur la même chaîne de montage que son prédécesseur.

Va voir au musée Schloß Wildeck !
On y trouve le prototype 200 du nouveau moteur, monté dans un cadre TS et doté d'un carter divisé horizontalement, d'un démarreur et d'autres évolutions.
http://oldtimerapp.com/Fahrzeugbilder/17823.jpg
voir ici : https://mz-forum.com/viewtopic.php?f=3&t=82342
Elle a été rejetée par la planification du gouvernement socialiste, car une toute nouvelle chaîne de production aurait été nécessaire pour la fabriquer.

Sur la Ts, il n'y avait que d'autres pièces rapportées, comme des réservoirs sur étagère ou des dispositifs d'éclairage occidentaux.

Plus tard, la fabrication de deux moules différents pour les cylindres de 12 et 14 ch et l'achat à l'Ouest de la pompe à huile Mikuni, très chère, pour le modèle 250, représentaient un coût très élevé pour la petite ETZ.
Seul M. Schalck-Golodkowski (*) savait combien de trains de draps devaient être envoyés à l'Ouest pour les payer, il n'y avait pas de devises pour cela.

Bye
Ralph.

bubob a écrit:à la fois, le titre, c'est toi qui l'a choisi, alors tu fais un peu comme tu veux ...

Faut pas pousser non plus !:

Les formations au service après-vente pour les monteurs venus de l'étranger ont eu lieu dans le centre de formation "Neue Dreibrüder Höhe", qui avait le caractère d'un hôtel, situé dans un cadre pittoresque.