Recherche Barré rouge Type ETZ 250

Bonjour à tous.

Concernant le type ETZ250, cette moto a fait l'objet de trois procédures de réception, au moins :  à l'issue de chaque processus de réception, la réglementation imposait (et impose toujours) au constructeur ou à son représentant en France (l'importateur) d'établir un document, que l'on nomme communément "barré rouge", composé de 3 parties :

- une notice technique avec les caractéristiques principales de la machine, sa marque, son type (ici ETZ250), le nom du demandeur (nous concernant, le demandeur  était toujours l'importateur, etmts Bonnet ou SIDFEN),
- la reproduction du procès verbal de réception, la date de ce PV, et le numéro d'enregistrement de la demande de réception,
- en fin de ce document, un certificat de conformité.

Ce "barré rouge", l'administration le nomme également le "trois en un" ou la Notice technique.

Pourquoi plusieurs processus de réception ? A chaque modification d'un élément mentionné dans la notice technique, l'importateur devait faire réceptionner une moto comportant cette modification pour pouvoir commercialiser la série correspondante, même si la modification peut sembler très mineure (ex, montage d'un allumage électronique à la place de rupteurs)  : (je simplifie).

A l'issue de chaque processus de réception (demande + PV de réception) correspond donc un nouveau barré rouge qui liste le n° de série de la moto à partir duquel la modification a été faite ; cette modification apparaît dans la notice technique du nouveau barré rouge.

Le numéro d'enregistrement de la demande de réception a toujours la même structure sur tous les barrés rouges en ma possession, quelque soit le type : 2 lettres puis 4 chiffres, puis l'année de la première demande de réception du type, puis 2 chiffres qui correspondent au nombre de fois ou l'importateur a demandé une nouvelle réception du type initialement réceptionné.

Concernant le type ETZ250 :

- première demande de réception du type ETZ250 nouvellement importé enregistrée sous le numéro : AU  2673 81 ; date du PV de réception, aucune idée, puisque c'est le barré rouge que je recherche, 1981 ou 82, je suppose.
seconde demande : enregistrée sous le n° AU 2673 81 01, PV réception du 19 novembre 1984
troisième demande: enregistrée sous le n° AU 2673 81 02, PV réception du 15 juillet 1988 (c'est à partir du n° de série 218 1900 qu'un allumage électronique a été monté en série sur le type ETZ250)
Quatrième demande, cinquième demande ? je n'en sais rien, je ne sais pas si le type ETZ250 a continué à évoluer par le suite.

je recherche de toute urgence le barré rouge qui correspond au PV de réception initial, celui dont la demande de réception est référence AU 2673 ou AU 2673 00 : si vous avez des barrés rouges postérieurs à celui de 1988, je suis également preneur.

En vous remerciant.

Tu as regardé du côté du "Centre national de réception des véhicules" ?

Le fonds comporte huit versements relatifs aux voitures particulières, deux-roues, véhicules
agricoles et industriels de marques françaises ou étrangères importées en France. Les quatre
premiers versements regroupent chacun les dossiers d'un genre de véhicule donné :
voitures particulières de 1899 à 1980 : 19900106/1 à 19900106/106
deux-roues de 1900 à 1976 : 19900107/1 à 19900107/14

( https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/NP/FRAN_NP_007473 )

A défaut :

Les dossiers n'ayant pas fait l'objet d'un versement aux Archives nationales sont conservés par le
Centre national de réception de véhicules :
Centre National de Réception des Véhicules (CNRV)
Autodrome de Linas
BP 10 211
91 311 MONTLHERY CEDEX

Merci Samyb !

Rien du coté des archives nationales à Fontainebleau après 1968 (mais jusqu'en 1968 il y a de la matière que je ne suis pas allé fouiller concernant MZ et IFA).

Je ne connaissais pas le centre national de réception des véhicules... mais si le dernier versement c'est 1976, ETZ250 non concernés (année de la première demande de réception de ce type ETZ250, 1981) : mais utile pour le type ETS125-1, réceptionné en 1972 (cf ce post : https://www.trophysport.net/t6016-barre-rouge-mz-125-ets-et-ts#134976)

Et après 1980, ils sont où les documents ? Ils les ont mangés ?

Je corrige : je recherche le barré rouge qui correspond à la première demande de réception du type ETZ250 dont le n° d'enregistrement de la demande de réception est AU 2673 81
ou AU 2673 81 00 (j'avais oublié l'année de la demande de première réception) : je recherche également tous les barrés rouges postérieurs à 1988, s'ils existent.

Non, mais c'est ce que j'ai déjà vu... c'est archives tech de fontainebleau, MZ, 1963-1967 : quand à comprendre comment ça marche leur site, je n'ai toujours pas réussi à faire mon espace personnel, à chaque fois je suis refusé, pourtant me codes sont les bons...

Bref, c'est décourageant tout ça, d'où mes appels ici : l'amicale MZ n'a rien.

j'ai pas tout suivi, mais pour immatriculer une ETZ qui n'aurait plus de papier, avec la FFVE ( et une déclaration sur l'honneur si tu n'as pas d'acte de vente -pour rappel une moto est un meuble qui fait partie d'une maison-) ça passe.

Merci Jeff !!!
Voilà qui redonne un peu le moral : je vais être un peu chiant, je m'en excuse : je préfèrerais un PDF de la même qualité que l'image publiée ci-dessus, même en deux parties (le recto et le verso - je les transformerai en un seul PDF) envoyé par mail que je te donnerai par MP.

A défaut, sachant que tout le monde n'a pas chez soi de quoi faire un PDF, un format jpeg de bonne qualité, mais je ne suis pas équipé pour le transformer en PDF, et si je bricole le document n'a plus l'air authentique, et derrière ça me pose des problèmes, je ne peux pas l'utiliser.

A défaut, une copie papier de bone qualité, idéalement en couleur, a défaut en noir et blanc.

Mais de toute façon contactons nous par MP (je te contacte dès que j'ai fini ce message)

(A l'attention de Fredo Crado : si tu dis que cela passe, cela doit être vrai, à moins que ce soit une question que tu poses : si c'est une question, je n'en sais rien, avant oui, il y a fin 2013 j'ai obtenu une attestation de datation de la FFVE  : le dossier était propre avec déclaration de cession du véhicule du vendeur, photos, demande d'attestation FFVE bien remplie : avec cette seule attestation + une demande d'immatriculation j'ai obtenu la CG sans problème à la Pref - à l'époque, c'était les pref qui délivraient, c'était pour une moto rare ici que je n'ai pas encore restaurée, un 175 ES 0 - c'est la première version 1956 -1957 cf photo ci-dessous)

J'ai le document en PDF, donnes moi ton mail en MP

Je le fais sur le champ.

j'ai fait 4 dossiers à la ffve , pas de soucis avec eux sauf celui d'une ts où je me suis servi de la carte grise d'une autre pour les renseignements et je n'ai pas fait attention à ces histoires de mtt 1 et 2 , donc, dans les mains de l'ANTS depuis 2 mois

Tant mieux pour toi didier 17.

Moi, je ne peux passer aucune de mes motos en CG collections car elles sont affectées à une exploitation professionnelle (location de motos anciennes à des fins touristiques), je suis immatriculé en tant que loueur de véhicules (activité commerciale CCI, 2021) et je vais passer artisan réparateur prochainement (chambre des métiers) : donc usage pro des motos (loueur) = CG de collection impossible, CGC = interdiction d'affecter le véhicule à usage pro, point final.

C'est pour cela que j'ai toujours, depuis 2013, acheté des machines à restaurer en CG normale : c'est pour cela également que j'ai toujours été très vigilant quand au genre national sur les CG (MTL, MTT1, MTT2) en raison de l'obligation de sécurité juridique (entre-autre) absolue que je devais à mes clients (je n'ai ouvert qu'en 2022) :! je n'enverrai personne muni d'un simple permis B sur un 125 classé MTT1 (MTT1 = permis moto obligatoire) : idem pour les classement MTT2 des 250, uniquement accessibles aux gens qui ont le permis moto "gros cube". (je simplifie).

J'ai toujours très facilement fait corriger mes CG par l'ANTS pour les 125 en utilisant l'alinéa 4.9.1 de l'article R311 du code de la route (cas de motos réceptionnées avant 1980 et dans une certaine mesure réceptionnées avant 1996) sans rentrer dans aucun débat technique (rapport puissance / poids etc...) : juste la réglementation : là présentement, toujours pareil l'ANTS me classe MTT1 un ETS125-1 de 1977 : ce qui m'inquiète c'est que contrairement aux cas précédents, l'ANTS ne m'a pas répondu depuis 3 semaines (d'had la correction prend 72 heures).
Concernant les 250, ça devient de plus en plus difficile de faire admettre à l'ANTS que ces machines ne sont pas des machines de courses : mais j'y suis toujours arrivé, mais de plus en plus mal avec de plus en plus de difficultés.

J'en avais parlé ici https://www.trophysport.net/t2964-genre-national-mz-ts-250-1-immatriculation-besoion-d-aide pour le TS250/1, le ETZ250, et d'autres marques.

Concernant l'attestation FFVE, prenez bien garde à ce que le classement en genre national soit le bon, il arrive qu'ils se trompent.

frédo crado a écrit: j'ai pas tout suivi, mais pour immatriculer une ETZ qui n'aurait plus de papier, avec la FFVE  ( et une déclaration sur l'honneur si tu n'as pas d'acte de vente -pour rappel une moto est un meuble qui fait partie d'une maison-) ça passe.

Pardon, je ne t'avais pas répondu, mais finalement didier 17 le fait.

Moi, je ne peux pas passer en collection, et toutes les motos que j'achète sont munies de leur CG normale, sauf exception comme pour le cas du 175 ES 0, mais là c'était vraiment en raison de l'intérêt historique de la moto qui est un modèle dont je ne suis pas certain qu'il ait été importé à l'époque : comparé à nos oignons nationaux de cette époque (175 peugeot...), franchement le 175 ES 0 était bien en avance sur notre production nationale, y compris sur les "hauts de gamme". ça m'avait surpris.

Merci à tous ceux qui me transmettent des documents.

Hélas, pour le ETZ250 je l'avais déjà, c'est celui référence AU 2673 81 01, PV de réception (ou d'homologation) du 19 novembre 1984 : mais c'est très bien, car mon exemplaire à moi était celui qui correspondait à une machine solo et j'ai reçu celui correspondant à une machine attelée : plus j'ai de barré rouge, plus je suis crédible cependant pour ce que je veux en faire (c'est a dire prouver que le type ETZ250 a bel et bien été importé et existe, peut-être pas dans le SIV, et qu'il roule....).

Je recherche donc toujours le premier barré rouge qui correspond au premier prototype du type ETZ homologue (ou réceptionné, c'est la même chose) pour la première fois en France et dont la demande d'homologations a été déposée par l'importateur en 1981 auprès du service des mines.

Les références de ce barré rouge sont inscrites dans la partie PV de réception : numéro d'enregistrement de la demande de réception : AU 2673 81 00 ou AU 2673 81 : et je serais extrêmement curieux de savoir, à la lecture de sa notice technique, ce qui a changé entre ce barré rouge initial et celui de 1984 (qui est référence AU 2673 81 01).

Rien à voir avec la moto, mais quand même.
J'ai voulu faire immatriculer un tracteur qui était dans la famille depuis près de 50 ans.
L'engin disposait d'une immatriculation dite "d'exploitation", c'est à dire que vu son âge, il n'a jamais eu de carte-grise, condition indispensable pour en refaire une aujourd'hui.
Pas de carte grise donc, et pas de barré-rouge (que le constructeur qui a changé de nom entre-temps) pouvait peut-être retrouver pour la modique somme de 200€.
L'assurance (car il était toujours assuré) refuse de me faire un certificat de propriété, car pas de carte-grise enregistrée et donc plus de propriétaire légal (décédé) et trois héritiers potentiels mais ça ne l'empêchait pas d'encaisser tous les ans.

En désespoir de cause, je vais à la gendarmerie qui me répond, texto: "Pas la peine d'essayer, même nous on arrive pas à retrouver les propriétaires de machines avec immatriculation d'exploitation, la préfecture ne les donne pas".
Je vais voir un mandataire qui me dit la même chose: "Pas de carte-grise, bon pour la casse".

J'ai monté un dossier complet à la FFVE sans trop y croire, j'ai fait très attention à faire un dossier complet, 10 jours après j'avais le certificat. Encore 10 jours et j'avais la carte-grise. Merci la FFVE!

Oui : moi j'ai toutes les CG, et comme je loue des motos de façon officielle (je suis immatriculé en tant que commerçant, bientôt en tant qu'artisan) je ne peux passer aucune de mes machines en collection : car CG collection = usage pro des machines interdit = je ne pourrai plus les louer.
Que la FFVE soit utile, je n'en doute pas, mais me concernant, je ne peux avoir recours a ses services.

Donc, je répète : Je recherche le premier barré rouge qui correspond au premier prototype du type ETZ homologue (ou réceptionné, c'est la même chose) pour la première fois en France et dont la demande d'homologations/récection a été déposée par l'importateur en 1981 auprès du service des mines.

Les références de ce barré rouge sont inscrites dans la partie PV de réception : numéro d'enregistrement de la demande de réception : AU 2673 81 00 ou AU 2673 81.

C'est très important.

Bon, je vois que ma recherche de barré rouge ne passionne guère.
Je vais tenter un artifice de communication, pour vous amener sur ce sujet chiant et vous forcer à fouiller vos poches (ou vos tiroirs), voici un petit compte rendu du "voyage" en ETZ250 immatriculée en 1984 (sous le barré rouge référencé AU 2673 81 ou AU 2673 81 00 que je RECHERCHE !).

C'était dimanche 12 mars 2023, le temps était menaçant mais Météo France promettait qu'il ne pleuvrait pas à verse. La machine a fait l'objet d'une restauration intégrale terminée fin janvier, et avait env. 700 km au compteur : But, faire un max de kilomètres pour accélérer le rodage et tester un parcours touristique que je connais par ailleurs relativement bien.

Départ Carmaux (Tarn 81) à 10h45 : arrêt photo devant le viaduc du Viaur à proximité de Tanus : https://tourisme-tarn-carmaux.fr/viaduc-du-viaur/#more-420 : petite mise en scène, moto garée sur le terre plein de l'aire du Gô délicieusement obsolète, on est en plein dans les années 80 :  https://www.cirkwi.com/fr/point-interet/1415245-viaduc-du-viaur-point-de-vue-aire-du-go.



Bon, je reprends la route en ne manquant pas de relativement pousser le moteur sur les intermédiates puis de laisser refroidir le moteur dès que je suis en cinquième, direction Rodez et arrêt à Luc la Primaube pour la pause casse croute à 12 h : je repars vers 12h30 direction Millau que j'évite puisque je bifurque direction les gorges du Tarn, haut lieu touristiques : à l'heure qu'il est la route est totalement déserte et je ne manque pas de pousser un peu fort sur les intermédiaires dès lors que je trouve un petit bout de ligne droite : quelque part dans les gorges du Tarn :

Je reprends la route direction Florac, j'y fais le plein, et je grimpe sur le plateau des Cévennes par une idéale montée bien raide et tortueuse où je ne manque pas de mettre les gaz : arrêt sur le plateau des cévennes, une petite mise en scène et photo, histoire de faire croire que je suis quelque part perdu dans une contrée lointaine aux Etats Unis (mouais...) : le tube qui dépasse de la sacoche gauche c'est la rallonge de la clef destinée à serrer l'écrou d'échappement - il faut être prévoyant... :

Après m'être perdu (comme à chaque fois, puisque je n'ai ni GPS ni carte) sur le plateau des Cévennes, je redescend dans les gorges de la Jonte et remonte tambour battant au Mont Aigual (env. 1500 mètres) croisant les derniers motards qui en descendent : https://www.ot-cevennes.com/mont-aigoual : j'y arrive à 17h, heureusement que je suis bien équipé, il n'y fait pas chaud-chaud : et hop, un ETZ250 semble dire aux possesseurs de machines autrement plus puissantes que l'on peut TOUT faire touristiquement avec 21 CV, y compris profiter d'un point de vue magnifique :

Bon, et bien je redescend à Meyrueis direction Le Rozier par les gorges de la Jonte : à Le Rozier, dans le Village, j'hésite, et je m'arrête devant un cédez le passage en me demandant si je ne me suis pas (encore) trompé de route : sur ce, je vois un passant qui regarde interloqué la moto, et qui traverse en éclatant de rire en me faisant un signe de la main hilare, point fermé et pouce dressé, "chapeau la moto" ! et oui, un "vieux de la vielle", un connaisseur, et je réponds par un grand sourire, on se comprend : Ouais, MZ, ça roule encore !

Direction Millau où je refais le plein : j'ai le choix entre passer par Rodez ou faire une boucle par Albi pour retourner à Carmaux : je choisis le trajet que je pense être le plus long (rodage...) et fonce vers Albi : après Saint Affrique, dans la grande montée pleine de virages en lacets et de courtes lignes droites je constate un kéké pressé en automobile qui me colle au cul et que j'avais déjà remarqué pour ses dépassements limites : attends, 21 CV n'empêchent pas de s'amuser, et vas-y que je monte les intermédiaires dans les lacés et sur ces courtes lignes droites bien raides, et je colle un vent à mon Fanjio en herbe, mais dès que les lignes droites s'allongent et que la route se transforme en 3 voies, là je peux plus lutter d'autant plus que j'évite de forcer trop longtemps la quatrième gaz ouverts en grand (rodage)... La nuit tombe, la route est humide et je commence à fatiguer, mon pilotage devient hasardeux, je rentre donc sagement à Carmaux en passant par Albi.

Voilà, 475 km, j'ai bien mal au cul, et à l'arrivée je constate un suintement en culasse : B... de M..., c'est bien la première fois que ça m'arrive sur un 250 ETZ, culasse voilée à tout les coups, je n'en ai pas d'autre et ça me GONFLE de devoir démonter pour tenter de resurfacer le plan de joint... je sais où et quand, et à qui je l'ai acheté cette culasse... m'étonnerai que le vendeur n'ait pas su qu'elle était voilée...

C'est la raison pour laquelle je sjuis certain que vous trouverez dans vos archives oubliées LE barré rouge qui correspond à la moto au centre de cette aventure, ce n'est pas moi qui vous le demande mais elle : on ne peut pas refuser cela à un ETZ250 de 1984 : donc barré rouge correspondant à la première réception du type ETZ250 dont la demande a été déposés en 1981, Référencé 2673 81 ou AU 2673 81 00.

Merci de votre lecture !

Evidemment que chacun ici, s'il peut contribuer à débloquer le volet administratif de ton projet pour le faire avancer, voudra t'aider.

Encore faut-il pouvoir. Pas mon cas, à priori, mais à supposer que tu trouves le moyen d'utiliser des infos issues d'autres juridictions, tu peux regarder du côté des Suisses :

https://typenscheine.ch/fr/

Et en particulier :

https://typenscheine.ch/fr/Info/653703-MZETZ250

Et bien, les suisses ont de la mémoire, EUX !
Nous, en France, on appui sur le bouton Reset, on efface tout, résultat le SIV est devenu totalement amnésique : les types mines MZ 1956 - 1991 ? Cela n'existe pas ! combien de motos importées pendant 35 ans ? 20 000, 30 000 ? Il semble que le marché français était friand de MZ, l'importateur dynamique.
Ce n'est pas pour débloquer la situation que je recherche les barrés rouges, c'est pour éviter un blocage. Et d'autres points bien pratiques, savoir ce qui était monté sur les machines, quand, comment, quels équipements, quel poids total en charge, etc, tout est mentionné sur les notices techniques des barrés rouges, seul document qui établi ces données de façon certaine, et c'est bien commode en pratique.
Par exemple : est-ce que les premier ETZ250 étaient équipés de frein avt à tambour ou de frein à disque ? Pourquoi un PV de réception modificatif du type ETZ250 en 1984 , quelles différences technique avec le PV de réception (= le premier barré rouge) de 1981 ? Les 250TS/1 ont-ils été réceptionnés un jour avec le frein avant à disque (ce qui éviterait une procédure de réception à titre isolée ?) même si un tel modèle n'a jamais été commercialisé ici ? Non semble-t-il, mais selon un doc que tu as publié ici, un des ingénieurs de MZ disait que l'on pouvait équiper les TS/1 de cet équipement.

Par exemple, j'entends dire que le Type ETS125 n'a jamais été importé en France, mais en même temps sur des archives de l'usine que tu as publié ici (ton post ETS125 forever), on lit que plus de 2000 machines de ce type ont bien été importées en France sur les 5000 env. produites : il semble (???) que l'importateur ait fait réceptionner un type ETS125-1 inexistant dans la production de l'usine allemande mais qui (je m'interroge) correspondrait ici à certaines ETS125 authentiques (les 2000 importées) puis à certaines TS125 "intermédiaires" (selon Jef) produite en Allemagne jusqu'en (environ) 1977 mais rebaptisées ici ETS125-1, jusqu'à l'arrivée du modèle TS125 "abouti" qui alors aurait été réceptionné (ou homologué) par l'importateur sous l'appellation Type mines TS125 vers 1978-1979 : c'est pour cela que je recherche les barrés rouges des types ETS125-1 et TS125, pour y voir plus clair.

Bon, moi je trouve cela intéressant mais surtout j'en ai besoin : par exemple, mon assureur n'arrive pas à admettre que le type 250TS/1 existe bel et bien (il m'a parlé du SIV en lien avec la prefecture ?), et je me retrouve avec un contrat d'assurance où le n° de plaque d'immat. est bien renseigné - la moto est donc bien assurée - mais le type mines est celui de l'ETZ250 sidecar : donc je vais lui transmettre le barré rouge du type 250TS/1 en lui demandant de corriger le contrat (c'est pour un sidecar TS/1).

Boulon a écrit:
Bon, moi je trouve cela intéressant mais surtout j'en ai besoin : par exemple, mon assureur n'arrive pas à admettre que le type 250TS/1 existe bel et bien (il m'a parlé du SIV en lien avec la prefecture ?), et je me retrouve avec un contrat d'assurance où le n° de plaque d'immat. est bien renseigné - la moto est donc bien assurée - mais le type mines est celui de l'ETZ250 sidecar : donc je vais lui transmettre le barré rouge du type 250TS/1 en lui demandant de corriger le contrat (c'est pour un sidecar TS/1).

Pour apporter la preuve de 'existence de tel ou tel modèle, la reconnaissance par l'administration en RFA pourrait attester, noir sur blanc, de ce que tu avances.

Il y a des documents (certificats d'immatriculation appliquant la nomenclature internationale ([1a et 1b pour le français, 2a et 2b pour l'allemand]), donc avec les rubriques numérotées, ce qui devrait coller avec la version en FR) intéressants ici, sur 3 pages : https://mz-forum.com/kb.php?c=123

Pour commencer, ça te dit ce qui est référencé.
Je vois des TS250/1 par ex.

Si tu confirmes l'intérêt du truc pour argumenter face à un assureur hexagonal, il faudra visualiser les docs. Pour ça, il faut s'inscrire sur le forum. Vu que c'est en germain, si ça bloque, je suis à ton service...

Sinon, tu me dis ce qui t'intéresse...

[1a] https://fr.wikipedia.org/wiki/Certificat_d%27immatriculation
* voir la rubrique "Nomenclature"
[1b] https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/HTML/?uri=CELEX:31999L0037&
[2a] https://de.wikipedia.org/wiki/Zulassungsbescheinigung
* voir "Angaben der einzelnen Felder"
[2b] https://eur-lex.europa.eu/legal-content/DE/TXT/?uri=CELEX:31999L0037

les 250 ts/1 n'ont pas eu de frein à disque, celles qui en ont sur le fofo , c'est nous qui avons adapté des freins d'etz dessus et je ne pense pas qu'il y ai eu des etz avec des tambours importées en France, réservé aux pays de l'est, à confirmer
on a pas beaucoup de barré rouge, ils n'ont pas suivi les machines qui ont été revendu plein de fois à part quelques exceptions (Meuzeu qui les a acheté neuves et qui les possède toujours et 2 ou 3 personnes)

didier17 a écrit:les 250 ts/1 n'ont pas eu de frein à disque, celles qui en ont sur le fofo , c'est nous qui avons adapté des freins d'etz dessus et je ne pense pas qu'il y ai eu des etz avec des tambours importées en France, réservé aux pays de l'est, à confirmer

Les premières ETZ (250) avaient bien d'origine un frein à tambour avant. Il y a eu ensuite un kit de transformation permettant de passer au frein à disque.

https://www.trophysport.net/t5995-frein-hydraulique-a-disque-ou-frein-a-tambour

Pour ce qui est de l'exportation, les statistiques ([1]) indiquent que sur la période 1951-1986, 921 MZ 250 ETZ ont été exportées en France, toutes avec frein à disque :

https://ets250.com/Exportstatistik/VII/nsw_export_land_250er_stueck_1.jpg

Légende :

"mSB" = "mit Scheibenbremse" = avec frein à disque
"oSB" = "ohne Scheibenbremse" = sans frein à disque

[1] https://ets250.com/Exportstatistik/index.htm

Boulon a écrit:
Je reprends la route direction Florac, j'y fais le plein, et je grimpe sur le plateau des Cévennes par une idéale montée bien raide et tortueuse où je ne manque pas de mettre les gaz : arrêt sur le plateau des cévennes, une petite mise en scène et photo, histoire de faire croire que je suis quelque part perdu dans une contrée lointaine aux Etats Unis (mouais...) : le tube qui dépasse de la sacoche gauche c'est la rallonge de la clef destinée à serrer l'écrou d'échappement - il faut être prévoyant... :

désolé, rien pour ta quête !

...en revanche, si tu t'obstines à nommer "plateau des Cévennes" le Causse Méjean, tu vas te faire des ennemis de part et d'autre !
ta photo représente très bien le Causse: un grand (immense) plateau calcaire couvert d'herbe à mouton ...
les Cévennes, c'est du schiste noir et cassant; l'herbe n'y est pas beaucoup plus grasse, mais on y trouve des forêts variées, avec, notamment,  des châtaigniers ( qui ne supporteraient pas le calcaire !)

bref, le paysage y est tout différent et on ne pourrait certainement pas le qualifier de "plateau" !!











désolé pour la digression, c'est juste pour me venger : tu es passé à 1/2 heure de la maison sans même faire un signe !!   " />" />" />" />" />" />