Vers la fin des années 50, seul "Cœur Vaillant" entrait à la maison. C'est aussi à cette époque que je me suis acheté (en cachette) mon premier "transistor" - un gros Schneider bleu à 62 francs - avec le salaire de mon job d'été.
Avant le transistor, j'écoutais ma "musique de sauvage" (Brahms !) sous mes draps sur un poste à galène de ma fabrication : un écouteur de téléphone volé, un enroulement de cuivre et une mine de crayon , un cristal de galène et comme condensateur un empilage de pièces de monnaie en alu et en cuivre séparées par des bouts de buvard imbibés de vinaigre !
On n'avait ni télé ni radio ni téléphone à la maison, mais ça nous a appris à bricoler et à être rebelles à l'autorité parentale, les autres autorités sont venues nous faire ièche plus tard...
Avant le transistor, j'écoutais ma "musique de sauvage" (Brahms !) sous mes draps sur un poste à galène de ma fabrication : un écouteur de téléphone volé, un enroulement de cuivre et une mine de crayon , un cristal de galène et comme condensateur un empilage de pièces de monnaie en alu et en cuivre séparées par des bouts de buvard imbibés de vinaigre !
On n'avait ni télé ni radio ni téléphone à la maison, mais ça nous a appris à bricoler et à être rebelles à l'autorité parentale, les autres autorités sont venues nous faire ièche plus tard...

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