de retour de chez Drosbé, j'ai trouvé que le levier d'embrayage espagnol avait un comportement "inapproprié" comme disent les américains.
Donc, puisque je resserre les boulons après 200 bornes de rodage, j'en profite pour peaufiner cet embrayage.
La disposition des lieux est assez semblable à celle de la ETZ 125.
la tige qui pousse pour écarter les disques traverse la boite et sort de l'axe du PSB.
pour pousser sur cette tige, le système sanglas est composé de deux plaques munies chacune de trois bossages (voir l'image) qui contiennent chacun une bille.
là, c'est le côté vers le PSB. c'est cette plaque là qui tourne, commandée par le câble.

de l'autre côté on voit la tige filetée et son écrou de blocage, avec un petit ressort pour aider le retour à zéro. ce réglage permet d'appuyer plus ou moins sur la longue tige. C'est plutôt un rattrapeur d'usure pour la petite tige filetée qui est d'un métal plus mou et s'use avec le temps. Elle est bien marquée.

le gag, c'est que je ne m'étais pas encore préoccupé de ce chapitre là. La vis trop usée ou trop dévissée, mon levier en butée, tirant sur le plateau mobile faisait que les billes se coinçaient à pleine ouverture. Rien qu'un bon coup de pied ne pût remettre en place.
Je me plonge dans le bouquin "937 horàs de mecànica sanglas" et je découvre ceci qui est admirable: "si, tout étant bien réglé, il reste trop de distance entre la tige et son poussoir, le poussoir sera complété par une bille de 6mm" en espagnol, cela va de soi!
Bon, la MZ n'a pas de bille entre la plaque et la tige, la BM, par contre a un système de cage à aiguilles qui m'a bien pourri la vie (Didier s'en souvient sans doute, ainsi que jef qui a perdu son temps là dessus aussi). Ça tombe bien, j'ai justement de la bille en stock. je mets une graisse bien collante.

Voilà, on remonte.

L'écrou à rallonge, à gauche, c'est du 12 et on y visse la vis du couvercle. La vis qui tient aussi le condo, c'est une BTR de 6. L'arrêt de cable qui tient la patte du bas, c'est du 13 ainsi que son écrou de blocage. Tout ça possède le même filetage. c'est la standardisation espagnole. Question de philosophie. Avec la MZ, marche au pas! Avec la Sanglas, olé!
Donc, puisque je resserre les boulons après 200 bornes de rodage, j'en profite pour peaufiner cet embrayage.
La disposition des lieux est assez semblable à celle de la ETZ 125.
la tige qui pousse pour écarter les disques traverse la boite et sort de l'axe du PSB.
pour pousser sur cette tige, le système sanglas est composé de deux plaques munies chacune de trois bossages (voir l'image) qui contiennent chacun une bille.
là, c'est le côté vers le PSB. c'est cette plaque là qui tourne, commandée par le câble.

de l'autre côté on voit la tige filetée et son écrou de blocage, avec un petit ressort pour aider le retour à zéro. ce réglage permet d'appuyer plus ou moins sur la longue tige. C'est plutôt un rattrapeur d'usure pour la petite tige filetée qui est d'un métal plus mou et s'use avec le temps. Elle est bien marquée.

le gag, c'est que je ne m'étais pas encore préoccupé de ce chapitre là. La vis trop usée ou trop dévissée, mon levier en butée, tirant sur le plateau mobile faisait que les billes se coinçaient à pleine ouverture. Rien qu'un bon coup de pied ne pût remettre en place.
Je me plonge dans le bouquin "937 horàs de mecànica sanglas" et je découvre ceci qui est admirable: "si, tout étant bien réglé, il reste trop de distance entre la tige et son poussoir, le poussoir sera complété par une bille de 6mm" en espagnol, cela va de soi!
Bon, la MZ n'a pas de bille entre la plaque et la tige, la BM, par contre a un système de cage à aiguilles qui m'a bien pourri la vie (Didier s'en souvient sans doute, ainsi que jef qui a perdu son temps là dessus aussi). Ça tombe bien, j'ai justement de la bille en stock. je mets une graisse bien collante.

Voilà, on remonte.

L'écrou à rallonge, à gauche, c'est du 12 et on y visse la vis du couvercle. La vis qui tient aussi le condo, c'est une BTR de 6. L'arrêt de cable qui tient la patte du bas, c'est du 13 ainsi que son écrou de blocage. Tout ça possède le même filetage. c'est la standardisation espagnole. Question de philosophie. Avec la MZ, marche au pas! Avec la Sanglas, olé!
» Remerciements
» Mobylette Motobécane AV44 de 1966
» ETS 125 arrivée d'essence ou autre chose...?
» Des puzzles (avec de vrais pixels)
» Petites annonces
» Tranches de vie de motards dans la RDA des années 1960
» De l'ADN estois dans les motos occidentales ?
» Les labels qualité sur les MZ